
Décarbonner la culture
« Décarbonons la culture » : Le rapport du Shift Project
Les pratiques culturelles occupent près de trois heures de notre emploi du temps quotidien, et les ménages français y consacrent environ 4 % de leur budget. Avec plus de 700 000 personnes travaillant dans le secteur, la culture emploie 2,6 % de la population active et génère 2,3 % du PIB français.
Voici ce que nous mettons en place et/ou développons, chaque année, pour réduire notre empreinte carbone au sein de notre structure et de notre manifestation.
Au sein de la structure :
- Le Plan de mobilité employeur accessible à toute l’équipe une incitation à utiliser les transports en commun
- Une journée de télétravail par semaine en moyenne par salarié
- La réduction de nos archives numériques et la limitation des données mises en ligne pour la communication – en favorisant, notamment, les formats vidéos
- La relocalisation des achats et la limitation des livraisons
Au sein de la manifestation
- Une attention particulière portée au bilan carbone de nos invité·e·s au moment de la construction de la programmation
- Des jauges à taille humaine
- L’organisation de séjours plus longs pour les artistes sur le territoire (masterclass, collaborations avec des artistes locaux, interventions dans des écoles, etc.)
- La mise à disposition de fontaines à eau
- La mise à disposition de gourdes, sur demande. Chaque invité·e étant convié·e à prendre ses dispositions
- La proposition d’une alimentation locale et végétarienne et d’un service de boissons locales (pour les artistes et le public)
- Le recyclage des déchets
- Le choix de fournisseurs locaux et la limitation des emballages plastiques pour le catering (privilégier le « zéro déchet »)
- L’augmentation de la part des déplacements en transports en commun pour les artistes
- L’encouragement du covoiturage via des plateformes dédiées et information du public sur les • transports collectifs permettant d’accéder aux lieux des événements
- La mutualisation des éléments indispensables à la logistique à l’échelle locale avec d’autres acteurs du territoire
- La limitation des matériels énergivores et l’exclusion des matériaux les plus polluants
- La réduction de la consommation de matière – notamment dans la communication (À l'étude)
- Le développement des filières de mutualisation des livres (occasion, location, emprunt, don, etc.)